Droit des médias

Une contribution satirique peut-elle déformer les faits? Non, dit le Conseil suisse de la presse. Le noyau du message d'une satire, à tout le moins, doit être vrai et la satire doit être reconnaissable comme telle par le public.

Le Conseil suisse de la presse reconnaît un droit des médias à l'hyperbole dans les titres, du moment qu'ils n'en deviennent pas trompeurs.

Le Blick n'avait pas à publier de photos érotiques d'une jeune femme, même si celles-ci sont accessibles sur le web.

La publication de photos non autorisées de victimes requiert l'approbation des proches.